1964 |La série "1940-1944 : La Résistance, témoignages et documents pour servir l'histoire" proposait en 1964 une trentaine d'émission sur la Résistance, dont deux volets intitulés "Août 1944, Paris se libère" (3ème partie) et "La Libération de Paris : Insurrection jour J".
1952 |Le roman de la science - Quand les hommes auront faim (1ère diffusion : 17/04/1952 Chaîne Parisienne)
2000 |En 2000, pour "Sous le figuier, le bonheur", Anice Clément rencontrait le pépiniériste André Eve et l'écrivain, pour l'occasion bien nommée, Catherine Laroze.
À la fin de la vie de Louise Michel, le refus des dominations, aussi multiples qu'elles soient, ne s'amenuise pas, au contraire...
"J'ai découvert, quand j'étais petite, que toute chose sur la Terre, vivante ou non, avait une attitude, un message, un geste. Je me disais : Tout est vivant, il faut faire attention à ce qu'on crée".
Cinquième halte : la Syrie vue à travers "Le Criquet de fer" dans lequel Salim Barakat, né en 1951 dans le nord-est du pays, raconte sa propre enfance. Dans une langue d'une grande force poétique, l'écrivain entremêle récit autobiographique et histoire douloureuse de la présence des Kurdes en Syrie.
Ce qui caractérisait Paul Virilio c'était son attention au monde : il fut le grand observateur de la désynchronisation de nos sociétés, et d'un sentiment de disparition, induits par la vitesse. Il ne faut pourtant pas considérer Virilio comme un pessimiste... mais plutôt comme un lanceur d’alerte ?
Leurs monologues caustiques et un brin ironiques, tout droit venus d'Allemagne feront la rentrée littéraire. Autour de La Grande Table, les écrivains Denis Michelis et Kahtarina Volckmer pour parler de leurs livres Encore une journée divine et Jewish Cock.
Roman et Jean-Sébastien se sont tous les deux trompés. Par facilité ou par conformisme, ils ont emprunté des chemins qui n'étaient pas vraiment les leurs. Deux histoires de vies bouleversées, sur fond de médecine, de trafic de drogue et d'influence.
Parviendrez-vous à réaliser un sans faute ? Tout le monde est invité à prendre son stylo, devant son écran ou à l’écoute de la radio, pour participer à cette expérience collective. Aujourd'hui, c'est Thierry Gillybœuf, écrivain et traducteur, qui se prête à l'exercice.
Pour ce cinquième et dernier volet de cette sélection d'archives sur le thème de Paris, un reportage de janvier 1950 dans les coulisses d'un grand magasin, et une croisière inhabituelle sur la Seine, sur les pas d'une touriste de marque : la reine Elizabeth II, en visite officielle en avril 1957.
Au lycée Armand Guillaumin d'Orly (Val-de-Marne), une classe de bac pro a suivi toute l’année des ateliers sur les inégalités femmes-hommes et les violences sexistes et sexuelles. Une manière de bousculer les préjugés et de libérer la parole, chez des adolescents qui n’échappent pas à ces violences.
Le cacao faisait partie du quotidien des habitants de l'Amazonie équatoriale des milliers d'années avant son importation en Europe. Le mot lui-même nous vient des Aztèques. L'histoire des arts mayas ou mixtèques nous permet d'en apprendre plus à propos de cet aliment.
En mai 2021, la photographe américaine Susan Meiselas revenait, au micro d'Arnaud Laporte, sur les différents projets qui constituent son œuvre et sur les questionnements qui traversent autant ses méthodes de travail que la conception qu'elle a de son art.
Dans ce dernier volet, Henry de Montherland revient sur ses essais, des écrits qui collent à l’actualité avant et durant la Seconde Guerre mondiale. À travers sa voix, on perçoit les réponses d’un homme accusé à tort d'avoir été du mauvais côté de l’histoire.
Ce qui caractérisait Paul Virilio c'était son attention au monde : il fut le grand observateur de la désynchronisation de nos sociétés, et d'un sentiment de disparition, induits par la vitesse. Il ne faut pourtant pas considérer Virilio comme un pessimiste... mais plutôt comme un lanceur d’alerte ?
À la fin de la vie de Louise Michel, le refus des dominations, aussi multiples qu'elles soient, ne s'amenuise pas, au contraire...
"J'ai découvert, quand j'étais petite, que toute chose sur la Terre, vivante ou non, avait une attitude, un message, un geste. Je me disais : Tout est vivant, il faut faire attention à ce qu'on crée".
Cinquième halte : la Syrie vue à travers "Le Criquet de fer" dans lequel Salim Barakat, né en 1951 dans le nord-est du pays, raconte sa propre enfance. Dans une langue d'une grande force poétique, l'écrivain entremêle récit autobiographique et histoire douloureuse de la présence des Kurdes en Syrie.