La Première rediffuse ses meilleurs moments: info, culture, invités, histoire, musiques, humour.
Et toutes les heures, un résumé de l'actualité
Un réveil chaleureux orchestré par Charlotte Dekoker, pour commencer la journée avec des découvertes culturelles, balades, sciences, bouquins, jardin, cuisine, sorties... Et tous les dimanches, un artiste à la table de votre petit-déjeuner. De quoi vous concocter le programme idéal pour votre fin de semaine... Mais aussi les jours fériés !
L'Italie, ça vous botte ? Descendons dans sa pointe, là où le bout des orteils vient chatouiller la Sicile / Active dans une entreprise de construction, Lilly Rumoro décide, à la quarantaine, de changer de vie : elle quitte Soumagne et vient s'installer, avec sa famille, à Cosenza, la terre natale de son grand-père. Accro à la Dolce Vita, Lilly a créé une maison d'hôtes sur la plage. Passionnée de slow-tourisme, elle emmène Adrien Joveneau récolter des figues, randonner dans le Parc National della Silla et découvrir les hots-spots de sa Calabre : Tropéa, Amantéa, Aiello, Cleto, Fiumefreddo Bruzio....
A écouter en radio sur La Première ce dimanche à 9 heures et à voir sur La Une en télé à 13h45
Comprendre les enjeux d'un sujet d'actualité. Avec des voix expertes, des acteurs et des actrices de terrain ou des citoyens, Arnaud Ruyssen revient aux origines d'une problématique pour l'analyser et la décrypter de façon accessible. De quoi vous donner les clés pour mieux comprendre les informations qui gravitent à toute allure dans notre monde de plus en plus complexe.
Kamel Daoud et Christian Astolfi : mémoires d'Algérie et voix de Femmes / Une émission méditerranéenne, Kamel Daoud, lauréat du Prix Goncourt 2024 et Christian Astolfi nous confient deux odes politiques et poétiques en prêtant leur voix à des femmes déracinées.
Au sommaire cette semaine, le lauréat du prix Goncourt 2024 : Kamel Daoud. Il avait déjà obtenu le « Goncourt du Premier Roman » en 2015 pour Meursault Contre-Enquête. À l'époque, il offrait une voix au personnage silencieux de « l'Arabe » tué par Meursault dans « l'Étranger » d'Albert Camus. Cette fois, Kamel Daoud prête sa voix à une femme, Aube, partiellement égorgée pendant la guerre civile algérienne dans les années 90. C'est un texte violent, puissant, et poétique à la fois...
De poésie il sera d'ailleurs question dans la suite de l'émission, puisque chaque semaine nous vous conseillons un classique de la littérature. Cette semaine, poésie donc... avec l'écrivain argentin Jorge Luis Borges... écrivain fétiche de Kamel Daoud. On parlera d'amour...
Avant de refaire un détour par l'Algérie - c'est une émission spéciale décidément - avec le très joli roman de Christian Astolfi : L'œil de la perdrix, ou une histoire d'amitié entre deux femmes déracinées. Rose, qui est corse... et qui a quitté son île pour Toulon dans l'entre-deux-guerres... et Farida, qui a - quant à elle - quitté l'Algérie pour la France dans les années 50. Les deux femmes vont nouer une relation d'amitié qui va changer leur vie.
Kamel Daoud, Houris (Gallimard), lauréat du Prix Goncourt 2024 ; "Je n'ai fait qu'écouter mon siècle" et "Il y a dans la foi un noyau de mauvaise foi qui ne dit pas son nom" et Christian Astolfi, L'oeil de la perdrix (Le bruit du monde)
Nous sommes au milieu du dix-neuvième siècle.
Dans un ouvrage consacré à Philippe de Marnix, baron de Sainte-Aldegonde, un héros de l'histoire de nos régions, au temps des Pays-Bas sous les Habsbourg, l'écrivain, historien et homme politique français Edgar Quinet écrit :
« Les peuples ont leurs moments de lâcheté ou de stupeur; ni les paroles ni les actions n'ont plus de prise sur eux, et tout serait perdu si le salut devait venir de l'élan de la conscience publique.
Attendre que les masses se réveillent d'elles-mêmes, ce serait attendre l'impossible: mais alors il y a des individus qui veillent pour tout un peuple, et c'est pour ces temps-là que les héros sont faits; en se conservant intacts, ils parviennent à ranimer les autres. »
Dans un autre livre consacré à la Révolution de 1789, le républicain anticlérical écrit :
« S'il est difficile d'empêcher de penser les peuples qui y sont accoutumés, il est cent fois plus difficile de forcer à penser ceux qui l'ont oublié ou désappris. »
Alors, qui était Edgar Quinet ?
Pour beaucoup : un inclassable à l'instar de Montaigne, Pascal ou Jean-Jacques Rousseau.
S'il a donné son nom à des rues et à des écoles de la IIIe République, il est depuis bien oublié.
Il fut pourtant l'un des maîtres de la jeunesse des années 1840 celle qui allait faire la révolution de 1848.
« Ne faites pas au monde l'extrême plaisir de lui demander l'impossible pour qu'il s'autorise à vous refuser le nécessaire », alertait-il encore.
Éclairons-nous au lumières d'Edgar Quinet...
Invité : Vincent Genin, docteur en histoire, chercheur à l'Ecole pratique des Hautes études de Paris.
Exposition de Cathy Alvarez : Cuando me muera... quand je serai morte, au musée du folklore et des imaginaires à Tournai
Rencontre avec Eric Marchal de la fondation Famawiwi à Tournai, qui réaménage les anciens fours à chaux en lieu de mémoire
Réalisation Yves Robic
Eddy Caekelberghs vous propose le monde du livre en Majuscules. Des auteurs, des éditeurs, des traducteurs, des coups de cœur d'écrivains et de libraires. De la littérature francophone et d'ailleurs. Thrillers, romans, essais et bandes dessinées. Sans oublier ces spectacles qui viennent du livre. Et ces voix d'auteurs qui restent nos archives Majuscules. Le dimanche, de 15h00 à 16h00.
Une jolie façon de mettre en avant l'offre de podcasts de La Première.
Philippe Geluck / On ne présente plus Philippe Geluck et ses multiples activités.
Dans les petits papiers, on parlera peu du Chat mais on remontera le fil de son histoire.
Il sera question de théâtre et de personnages auxquels il ne croyait pas, de parents communistes et de désillusions, de tentatives de correspondance avec le Pape, de la pudeur et de la carapace que représente l'humour, de la peur de la mort et des angoisses d'enfant.
Tout ça avec le sourire évidemment, c'est quand même Philippe Geluck après tout.
Qui a dit que l'école était finie? En théorie, c'est Sheila. En pratique, il y a rattrapage sur La Première! Dès 16h, Walid fait la classe et devient votre nouveau maître des colles. Plus qu'un jeu, un état d'esprit complètement yéyé qui voit une bande d'élèves plutôt potaches retourner sur les bancs de l'école pour vous offrir votre récréation de fin d'après-midi. Divertissez-vous avec le jeu antisèche qui vous fera aimer l'école!
Une sélection musicale proposée par Olivier Depris / SADE ADU - YOUNG LION
FLYING LOTUS - THE LOST GIRLS (FEAT SID SRIRAM)
DOTTIE - MIDHEAVEN
CUTOUTS - BLOODSUCKER
HANK HEAVEN - GLASS
BEACH VACATION - SLOWLY
MXMTOON - PASSENGER SIDE
SEA LEMON - SWEET ANECDOTE
HALEY HEYNDERICKX - MOUTH OF A FLOWER
ROY BLAIR - HUMMINGBIRD
WALLICE - I WANT YOU YESTERDAY
MATT CHAMPION - HACKER
LUVCAT - HE S MY MAN
FABIANA PALLADINO - DRUNK
CURE - ALL I EVER AM
ROYEL OTIS - IF OUR LOVE IS DEAD
En Quête de Sens est un magazine qui accueille tour à tour les émissions Libres, ensemble (Centre d'action laïque), Il était une Foi (CathoBel), La Voix protestante (Association protestante de radio et télévision), Orthodoxie (Eglise orthodoxe en Belgique), Shema Israel (Consistoire central israélite de Belgique).
Le magazine de reportages de la rédaction. Réalisés au bout du monde ou au coin de la rue, ces reportages parlent de notre histoire, plongent dans la société telle qu'elle est avec ses différents soubresauts. Transversales, c'est du reportage, du vécu, et une écriture radiophonique qui veut provoquer le débat, la confrontation et la réflexion.